Actes de congrès de la SMB

Le Havre – Octobre 1998 (80 pages, 15 €)

On parle beaucoup d’alcool, de l’alcoolique, de l’alcoolisme. Où parle t-on de l’attitude, l’approche, les réactions instinctives pour ne pas dire le rejet non reconnu du médecin face à un alcoolique?

D’où nous vient cette attitude ? Comment y remédier ? Comment comprendre ce

qui se passe entre un alcoolique qui ne demande rien et le médecin qui veut le soigner ?

Grenoble – Novembre 1997 (160 pages, 22 €)

Quatorze communications, pour dire ou ne pas dire autour du Silence…le peindre, le penser, l’apprivoiser et même le chanter ! Vingt intervenants d’horizons différents : du généticien, à l’orthophoniste en passant par l’infirmier, le généraliste et le psychanalyste.

Nîmes – Octobre 1995 (93 pages, 15 €)

Treize communications sur la violence vue par un chirurgien, des psychanalystes, une orthophoniste, un ophtalmologue, une éducatrice, une infirmière…et un aumônier des hôpitaux. Et également la violence dans la vie et l’œuvre de Michael Balint par Michelle Moreau-Ricaud.

Rouen – Novembre 1994 (152 pages, 22 €)

Plus de vingt auteurs, quinze textes dont l’article princeps de Philippe Davezies (la place du travail dans la construction de la santé). Une série pluridisciplinaire d’écrits pratiques, affectifs et/ou historiques sur le RMI, le bénévolat, l’argent dans la consultation, par des médecins du travail, des psychologues, des infirmières, des médecins généralistes ou spécialistes, des « humanitaires » et des psychanalystes. A noter le texte de Guite Guérin sur la précarité de l’humain. En annexe : l’approche de Michelle Moreau-Ricaud commentant Michael Balint en 20 « stations ».

Tours – Octobre 1993 (150 pages, 22 €)

Vingt deux textes (trente auteurs), une bibliographie fournie. Autour du temps d’arrêt que peut représenter la maladie, une occasion de resituer les places et une possibilité qu’émerge pour chacun une parole, la sienne. Ce document fait état de la diversité des pratiques des intervenants : pédiatrie, anesthésie, médecine générale, psychomotricité, psychanalyse. L’ancrage dans la psychanalyse est ici évident, prenant en compte la diversité des manifestations de l’inconscient par le corps et dans l’histoire du patient, de sa famille, mais aussi de la médecine et de certains mouvements de société.

Nantes – Novembre 1992 (166 pages, 22 €)

Vingt deux auteurs, seize textes, dont le texte princeps de Jean-Louis Pedinelli sur la notion de « travail de la maladie, texte de la maladie, travail de la souffrance »

Vingt deux auteurs, seize textes, dont le texte princeps de Jean-Louis Pedinelli sur la notion de « travail de la maladie, texte de la maladie, travail de la souffrance »

Bordeaux – Novembre 1991 (90 pages, 9€)

Dix articles dont celui de Bernard Favarel-Garrigues, où il est question des maladies secrètement transmises, de la vertu thérapeutique de la séduction, de l’alcool, de la peau et du respir, des hommes et des femmes ; où il est question de « poser les questions ou pas ».

Le Mans – Octobre 1990 (96 pages, 9€)

Quatorze articles dont celui de Norbert Bensaïd, un poète Georges Jean, et les photos d’Alain Szcuczynski de la créativité « bien tempérée », au flash, à la transgression, à la création, à la poésie…et à « créer et recréer le Balint ».

Reims – Novembre 1989 (72 pages,9€)

Quatorze textes, dont ceux de Jean Delahousse et de Michel Sapir. Où l’on écrit sur les effets placebo, l’effet nocebo, les paradoxes de la prescription, ses voies, et où l’on parle de prescrire de la nostalgie, un, ou…le remède Balint.

La Rochelle – octobre 1988 (61 pages, 9€)

Repérer tous ces tiers qui accompagnent la relation soignant-soigné permet de mieux les tolérer et peut-être de les utiliser… De nombreuses histoires de tiers racontées par des médecins, psychanalystes, infirmières… nous permettent de réfléchir à cette constante de notre pratique.